(Some) One Shots
❤️ Coup de cœur des lecteurs
Nombre de pages en A4 : 234
Version publiée le 29 juin 2021
- (Première publication sur Edition999 le 22 novembre 2018)
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Thème :
Littérature
La quatrième de couverture
Des histoires naissent, sans autre but que d’exister par elles-mêmes. Des « one shots » écrits au gré du hasard et de l’inspiration du moment.
" Some one shots " parce qu’on ne décide jamais vraiment si l’on reste ou si l’on part, du moment où l’on quitte ou non cette terre. Appelez ça le destin, la main de Dieu ou du diable, un concours de circonstances…
En tout cas, il y a toujours quelqu’un pour appuyer sur la gâchette sans forcément avoir recours à une arme à feu.
Quelqu’un ou quelque chose.
Someone or something…
"(Some) One Shots", c’est un recueil de 55 nouvelles réparties à travers 12 parties thématiques : "Voyages", "Mes interludes", "Les sectaires", "Les prédateurs", "Enfances volées", "Rouler des mécaniques", "Destinées I", "Legends", "Des prénoms en trompe-l’oeil...", "Destinées II", "Darkness" (très très noir), "Après toi...".
Je vous en souhaite bonne lecture...
La première page
Il y a des images furtives qui se fixent durablement dans nos mémoires parfois.
Celle qui me reste ressemble à ce tableau de Vettriano, Seul le rouge profond II, ou du moins ce tableau m’y fait souvent penser…
Ma mère se maquillait assez peu, mais ce souvenir est lié à ce geste très féminin : celui de se grimer dehors un soir, à la lueur d’un lampadaire la nuit tombée.
La case était sommaire, les sanitaires l’étaient encore davantage, alors pour ” se faire belle “ comme on dit, pour aller danser quelque part, ma mère usa du système D, gestuelle immortalisée par l’objectif de mon père ce soir-là.
Je devais avoir six ou sept ans à l’époque, et jamais je n’ai trouvé ma mère aussi jolie, quand le ballet des ombres la mettait si bien en lumière. En pantalon noir et petit top léger, les pieds habillés d’un vernis aussi écarlate que ses sandales à talons, elle composait avec le muret de pierres sur lequel elle s’était vaguement assise pour profiter de son reflet dans le minuscule miroir du vanity-case qui reposait, en position ouverte, à côté d’elle, de façon à pouvoir peindre ses yeux ou ses lèvres sans déborder.
🎓Ambassadeur Edition999
« Nous sommes bien conscients qu’il y aura des gens qui ne vont pas aimer du tout. Mais… Est-ce que c’est tellement important ? » Romy Schneider, au cours d’une interview accordée à France Roche pour la sortie du film "La passante du Sans-Souci" (1982)
Cette citation pourrait presque être une...
Lire son interview