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Accueil > Littérature > Ukraine, vue du dessus de la mêlée
Ayant un accès à l’information plus large que celui notre TV nous propose (je maitrise le russe et l’ukrainien), je me suis aperçu que celle que nous avons est très souvent engagée et parfois mensongère. Je trouve inadmissible que les Français n’aient qu’une partie de l’information. Personnellement, je suis contre cette guerre et j’essaye de rester NEUTRE. Alors, le but ce journal est d’équilibrer cette situation informatique, d’analyser l’actualité virtuelle et réelle pour comprendre les « pour-quoi » et « comment » de ce conflit. J’avoue qu’au début j’étais plutôt déstabilisée par l’information qu’on ne nous donne pas (il est difficile de rester neutre devant toute cette souffrance humaine méconnue aux Français). Les premières pages de mon journal, du 3 mars au 12 mars, montrent ma grande implication émotionnelle.
Aujourd’hui j’ai compris qu’on ne peut croire ni les Russes, ni les Ukrainiens et surtout pas les propagandes du régime de Moscou, ni celles de Kiev (ce dernier étant encore plus spécialisé dans le mensonge que Moscou).
L’heure est grave, selon les économistes (comme Charles Gave) : notre bateau nommé « Europe » est en train de couler !
Selon moi, la vision de la sécurité européenne doit devenir un sujet central de ces élections présidentielles. Comme on ne peut pas vivre actuellement sans gaz ni pétrole russes, on ne peut pas construire la sécurité en dressant un nouveau mur de Berlin ! Il vaut mieux construire notre sécurité collective non pas contre la Russie, mais avec elle, en réglant au plus vite ce conflit ukrainien par la voie diplomatique.
SOS du 17 mars 2022. Les combats à Marioupol font rage. J’appelle aux secours toutes les organisations humanitaires, car nous devrons éviter la plus grande catastrophe humaine connue après la deuxième guerre mondiale. Depuis une dizaine de jours, Marioupol est devenu un terrible champ de bataille où les bataillons des néonazis (voir plus de détails dans ma lettre au Présidant de la République) retiennent en otage les habitants de cette ville. Face à eux, nous avons la milice de Donbass qui souhaite une vengeance pour les 15 000 citoyens morts depuis 2014 (le véritable début de ce conflit). Les néonazis se battent avec la force de désespoir en transformant chaque maison des habitants en forteresse. Ils savent qu’ils sont condamnés à cause de leurs nombreux crimes commis depuis 2014. Ils ne peuvent pas se mêler aux civiles pour passer inaperçus à cause de leurs tatouages à caractère explicite. Aujourd’hui il n’y a que 10 % de population évacuée (voir leurs témoignages dans la note de bas de page N°1). Il faut absolument sauver les 90 % restant. Je crains que pour certains, c’est déjà trop tard !
Chaque être humain est mortel. Ce corps nous est donné pour expérimenter la vie sur terre, mais le moment venu, nous devons le rendre. Je crois que mon temps est désormais compté ! Le moment est venu de faire un petit bilan.
2023
En regardant des séries américaines, vous êtes-vous déjà posé la question suivante : pourquoi en France on n’entend pas parler des erreurs médicales. Est-ce que notre médecine fonctionne mieux que celle d’Amérique. En lisant cette partie de mon journal (...)
2023
C’est la suite je mon journal que j’ai commencé il y a 4 ans. L’idée de cette partie est née depuis un petit moment (depuis 2018). J’ai pris le temps d’étudier le problème. J’ai décidé de ne pas préciser le nom de la ville, car les événements qui suivent (...)
2022
En février 1956, une vague de froid exceptionnelle a paralysé la France tout entière. Cet essai donne des témoignages vécus, dont le mien, sur cet épisode dans la région toulousaine.
un livre romancé sur un séisme vécu SEISME ( NORA ADEL) Qui a volé Rika ? Le soleil s’était réveillé comme d’habitude, pressé d’escalader un ciel acquis. Aucun signe annonciateur d’apocalypse. La mer avait sectionné tout nerf optique pour que les vagues (...)
Difficile de suivre les pensées d’un professeur d’ethnologie comparée sur les sentiers de l’Anazomie. Les Pichus, dont il entreprend la chronique après des années d’un silence meurtri, sont-ils son vrai sujet d’étude ? Cet enseignant vieillissant et (...)