"Chiens de guerre" (originellement "Les chiens de guerre") a été écrit en 1991, puis révisé en 1999. Mon intérêt pour l’histoire militaire (bien que je sois pacifiste, mais je n’en suis pas à une contradiction près !) m’a inspiré cette nouvelle, ainsi que (…)
2011
J’ai autrefois beaucoup lu les romans de Léon Tolstoï et de Dostoievski, et j’en ai retenu l’atmosphère de la Russie tsariste du XIX° siècle. J’ai également songé à Jean Lorrain et sa nouvelle "Les trous du masque".
2015
J’ai toujours été fasciné par les romans de Ridder Haggard au XIX° siècle, "Les mines du roi Salomon" ou "She". C’est le seul de mes récits qui se déroule en Afrique, et je me suis inspiré des ruines du Grand Zimbabvé pour écrire un conte dans la veine (…)
2013
J’ai toujours été fasciné par les romans de Ridder Haggard au XIX° siècle, "Les mines du roi Salomon" ou "She". C’est le seul de mes récits qui se déroule en Afrique, et je me suis inspiré des ruines du Grand Zimbabvé pour écrire un conte dans la veine (…)
Mon premier véritable souvenir d’homme, c’est une veillée autour d’un feu de camp, un de ces soirs d’été où la lune luit d’un éclat fantomatique. Je revois ma mère absorbée par son ouvrage de couture, mais dont le sourire satisfait trahit qu’elle ne perd (…)
Une terreur glaciale s’empare de lui. Il se retourne. Personne.
28 décembre 2020, par Stéphanie PEREZ
Nouvelle bien sympathique. Merci.
10 avril 2011
Très bien !
20 mai 2009
MANQUE DE SUSPENCE CAR TROP DE DESCRIPTIONS POUR UNE HISTOIRES COURTE, LE LECTEUR PERD LE FIL LORSQUE LE NARRATEUR EXPOSE SES PENSEES, C’EST AU LECTEUR DE RAISONNER ET PANIQUER A LA PLACE DU PERSONNAGE ;
BON STYLE ET PHRASES BIEN CONSTRUITE
^ 25 mai 2009, par Pascal FRITSCH
Oui, je donne sans doute trop de détails, mais je peux retourner la chose comme je veux, j’ignore si le texte y gagnerait en efficacité. Ne pas immédiatement indiquer que le narrateur croit attoucher des crânes et autres ossements aurait peut être laissé d’autres lecteurs perplexe quant aux raisons de son évanouissement... Ou il aurait fallu que le narrateur attende seulement d’avoir retrouvé son ami pour lui exposer les raisons qui ont suscité son affolement grandissant. Mais je voulais prendre le lecteur à contrepied en le persuadant que le narrateur vient de tatonner en un lieu où des événement horribles ont eu lieu, avant que l’éclairage ne lui apprenne que ces "horreurs" pouvaient s’expliquer de manière parfaitement rationnelle... avant un nouveau rebondissement durant l’épilogue pour laisser la place à l’ambigüité. La tanière d’un anthropophage survivant ou non ? La question devait rester en suspense.
De toute manière, j’admets être mal à l’aise avec ce texte. Peut être une refonte de ce dernier s’avère t’elle être impossible pour moi, car l’idée de départ ne m’inspirait qu’à moitié. C’était un hommage à la nouvelle de Lovecraft "La bête dans la caverne", en tentant de la rendre plus complexe.
Quoi qu’il en soit, merci pour votre avis.
^ 25 mai 2009
Peut-être une réécriture pour le receuil d’ici et d’ailleurs, avec en plus de nouvelles histoires pourrait être une bonne idée. Il cherche des auteurs pour les tomes suivants.
^ 29 juin 2009, par Pascal Fritsch
Euh, excuses moi, mais j’avoue humblement ne pas trop avoir compris ton conseil. Qu’entends tu par "de nouvelles histoires" ? De qui parles tu lorsque tu dis "IL" cherche des auteurs pour les tomes suivants ? On dirait que "Le recueil d’ici et d’ailleurs" est le nom d’un autre site, mais, j’avoue que tout cela n’est pas très clair à mes yeux. Pourrais tu être plus explicite, "please" ? Merci par avance !