Libérez vos mots, lisez sans limite ! Publiez et découvrez gratuitement

Accueil > Fantastique > A la faveur des ténèbres

A la faveur des ténèbres

A la faveur des ténèbres

Delapore (Auteur)

Nombre de pages en A4 : Nombre de Pages : 5

Version publiée le 2 octobre 2008

Les statistiques du livre

1331 lecteurs ont feuilleté le livre

747 lecteurs ont inclus ce livre dans leur bibliothèque.

Note Moyenne : 4/5 sur 3 votants

Evaluer le livre


Thème : Fantastique

La quatrième de couverture

En y resongeant, je crois que même un homme seul errant dans le désert a au moins la chance de pouvoir sentir la vie respirer autour de lui, que ce soit le souffle du vent brûlant, la morsure des rayons du soleil sur sa peau ou le sable dans lequel s’enfoncent ses pas. Mais pour celui qui se perd dans les méandres sinueux d’une succession de tunnels, sous plusieurs dizaines de mètres de terre ou de rochers, mort à toute lumière, mort à tout astre, celui là sait ce que le mot « solitude » peut réellement bien vouloir dire...
Ne hantez pas les toundras désertes de la Sibérie orientale, ne cherchez pas à gagner le cœur du Sahara torride ou celui de l’Antarctique glacé. Contentez-vous d’explorer un réseau de cavernes comme je l’ai souvent fait dans le passé, en l’occurence les Rochers de Naye, dans les Hauts de Montreux, en pays vaudois, en pleine saison estivale. Vous n’y perdrez pas au change... mais vous vous en mordrez peut être les doigts.

La première page

en cours de rédaction
  

Biographie de Delapore

J’habite en Alsace depuis toujours, à deux pas de Strasbourg, dans un village appelé Eckbolsheim (cela m’amuse toujours de penser que certains lecteurs auront du mal à épeler ce nom à voix haute !). Mes diplômes en Droit et en Histoire ne m’ont que relativement servis puisque je suis...

Lire son interview

Autres(s) parution(s) de l'auteur

Chiens de guerre

Chiens de guerre

"Chiens de guerre" (originellement "Les chiens de guerre") a été écrit en 1991, puis révisé en 1999. Mon intérêt pour l’histoire militaire (bien que je sois pacifiste, mais je n’en suis pas à une contradiction près !) m’a inspiré cette nouvelle, ainsi (...)

2011

Le masque de Dimitri Semionovitch

Le masque de Dimitri Semionovitch

J’ai autrefois beaucoup lu les romans de Léon Tolstoï et de Dostoievski, et j’en ai retenu l’atmosphère de la Russie tsariste du XIX° siècle. J’ai également songé à Jean Lorrain et sa nouvelle "Les trous du masque".

2015

Une inconnue en Rhodésie

Une inconnue en Rhodésie

J’ai toujours été fasciné par les romans de Ridder Haggard au XIX° siècle, "Les mines du roi Salomon" ou "She". C’est le seul de mes récits qui se déroule en Afrique, et je me suis inspiré des ruines du Grand Zimbabvé pour écrire un conte dans la veine (...)

2013

Un message, un commentaire ?

modération a priori

Votre contribution n’apparaîtra qu’après avoir été validée par un administrateur du site.

Qui êtes-vous ?
Votre Message

6 discussions

  • 28 décembre 2020, par Stéphanie PEREZ

    Nouvelle bien sympathique. Merci.

  • 10 avril 2011

    Très bien !

  • 20 mai 2009

    MANQUE DE SUSPENCE CAR TROP DE DESCRIPTIONS POUR UNE HISTOIRES COURTE, LE LECTEUR PERD LE FIL LORSQUE LE NARRATEUR EXPOSE SES PENSEES, C’EST AU LECTEUR DE RAISONNER ET PANIQUER A LA PLACE DU PERSONNAGE ;
    BON STYLE ET PHRASES BIEN CONSTRUITE

    • ^ 25 mai 2009, par Pascal FRITSCH

      Oui, je donne sans doute trop de détails, mais je peux retourner la chose comme je veux, j’ignore si le texte y gagnerait en efficacité. Ne pas immédiatement indiquer que le narrateur croit attoucher des crânes et autres ossements aurait peut être laissé d’autres lecteurs perplexe quant aux raisons de son évanouissement... Ou il aurait fallu que le narrateur attende seulement d’avoir retrouvé son ami pour lui exposer les raisons qui ont suscité son affolement grandissant. Mais je voulais prendre le lecteur à contrepied en le persuadant que le narrateur vient de tatonner en un lieu où des événement horribles ont eu lieu, avant que l’éclairage ne lui apprenne que ces "horreurs" pouvaient s’expliquer de manière parfaitement rationnelle... avant un nouveau rebondissement durant l’épilogue pour laisser la place à l’ambigüité. La tanière d’un anthropophage survivant ou non ? La question devait rester en suspense.

      De toute manière, j’admets être mal à l’aise avec ce texte. Peut être une refonte de ce dernier s’avère t’elle être impossible pour moi, car l’idée de départ ne m’inspirait qu’à moitié. C’était un hommage à la nouvelle de Lovecraft "La bête dans la caverne", en tentant de la rendre plus complexe.

      Quoi qu’il en soit, merci pour votre avis.

    • ^ 25 mai 2009

      Peut-être une réécriture pour le receuil d’ici et d’ailleurs, avec en plus de nouvelles histoires pourrait être une bonne idée. Il cherche des auteurs pour les tomes suivants.

    • ^ 29 juin 2009, par Pascal Fritsch

      Euh, excuses moi, mais j’avoue humblement ne pas trop avoir compris ton conseil. Qu’entends tu par "de nouvelles histoires" ? De qui parles tu lorsque tu dis "IL" cherche des auteurs pour les tomes suivants ? On dirait que "Le recueil d’ici et d’ailleurs" est le nom d’un autre site, mais, j’avoue que tout cela n’est pas très clair à mes yeux. Pourrais tu être plus explicite, "please" ? Merci par avance !

Dans le même rayon : Fantastique

Lily, l'Aigle Royale

Lily, l’Aigle Royale

Lily, une jeune archéologue, s’intéresse de très près à la science & aux aventures mystérieuses. Suite à la mort subite de toute la famille De Laurys, Lily se mit en tête d’acheter leur vieille maison mise en vente, pour découvrir le mystère de cette (...)

Passage en ruelle étroite

Sous la tutelle de sa gageure, la colère se dessinait nettement. Il s’en voulait trop de ne pas rester indifférent aux alentours. Il se sentait floué mais encore plus par lui-même que par les événements. C’était de sa faute si on lui incombait dommages (...)

De l’autre côté de la rue.

Ça allait faire quatre années que j’habitais ici et je n’avais jamais osé mettre les pieds dans la maison de l’autre côté de la rue, la maison juste en face de la mienne. Pourtant, vous l’auriez vu cette baraque, elle avait tout du foyer idéal. Un (...)