Éphémères et diluviennes
Nombre de pages en A4 : 38
Livre publié le 20 avril 2020
- (Première parution le 21/03/2018)
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Thème :
Littérature
La quatrième de couverture
"L’amour, ce sentiment auquel tout le monde aspire… Il peut surgir n’importe quand, n’importe où. Au détour d’une rue piétonne, d’une aire d’autoroute, dans une larme de houblon. Parfois, l’union de deux êtres donne même des fruits magnifiques. Mais il est rare que le bonheur subsiste sans aucun nuage…"
J’ai créé ce recueil de nouvelles très conceptuel entre juillet et septembre 2012, et il a été publié en ebook sous un autre nom de plume entre février 2013 et janvier 2018.
C’est donc avec un immense plaisir que je donne une seconde vie à ces 9 nouvelles en vous les présentant dans un nouvel écrin. En voici les titres : "Illusion d’optique" ; "Lisa, someone to love..." ; "Apparition" ; "A mort, amor" ; "Pour Emy..." ; "Un soir de pluie" ; "La vague à lames, Gaby..." ; C’est le vent, Betty..." ; "Accident de parcours".
Bonne lecture à vous !
La première page
Tu es là, je te respire, je te sens partout.
Ton regard sur moi en permanence.
Notre rencontre presque muette.
Je me noyais dans tes yeux, déjà.
Je ne voyais qu’eux.
L’amour que nous faisions ensemble, les balades main dans la main sur la plage, nos jeux dans les vagues, tes prunelles qui s’illuminaient en s’attardant sur ma silhouette ambrée, miroitante de cette eau salée venant s’échouer sur tes lèvres, notre vie à deux.
Nos silences qui en disaient plus long que des mots.
Toi.
Moi.
Unis pour l’éternité.
Du moins, je le croyais…
La pluie s’abattait violemment sur le pare-brise. Les essuie-glaces en chassaient l’eau comme un revers de manche rageur, mais le torrent de larmes ne s’atténuait pas sur les joues d’Adèle.
Cinq jours d’absence.
Une absence qui me colle à la peau.
Mon cœur s’exsangue, sans toi je ne suis plus.
Transparente, diaphane, invisible.
🎓Ambassadeur Edition999
« Nous sommes bien conscients qu’il y aura des gens qui ne vont pas aimer du tout. Mais… Est-ce que c’est tellement important ? » Romy Schneider, au cours d’une interview accordée à France Roche pour la sortie du film "La passante du Sans-Souci" (1982)
Cette citation pourrait presque être une...
Lire son interview