Joseph et les petits pains
Nombre de pages en A4 : 137
Version publiée le 27 décembre 2020
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Thème :
Littérature
La quatrième de couverture
Joseph commence ses études secondaires à la Polyvalente. Il se fait de nouveaux amis grâce à des petits pains de la Parole de Dieu qu’il distribue ici et là.
Joseph donne, à un de ses amis, Mario, un petit pain disant que « tout est possible à celui qui croit ». Or, Mario met en pratique ce petit pain sans réfléchir en souhaitant obtenir une boussole. Il y a méprise. Alors, il faudra toute la délicatesse d’une mère pour expliquer à son fils, Mario qu’il a fait ainsi une erreur de compréhension. C’est Dieu qui exauce les prières ou qui parfois, ne les exauce pas toujours comme on voudrait.
Comme Joseph distribue des petits pains largement, il sème généreusement, les petits pains se répandent dans plusieurs foyers par ses amis et amies. L’accueil de ces petits pains est toujours favorable, car les Paroles de Dieu ne font que du bien à l’âme.
Une vocation s’amorce par la distribution des petits pains dans le cas d’Ernest et aussi de Joseph.
Joseph parle des petits pains à un voisin dans la classe de mathématiques et dérange ainsi la paix de la classe ; alors le professeur le retient après le cours pour qu’il s’explique.
Comme Joseph a appris que les partages sur l’Évangile étaient toujours une source fameuse de connaissances sur les Saintes Écritures, alors il organise avec un ami, Ernest, et avec ses parents un partage sur l’Évangile.
Mario, va essayer de transmettre avec les petits pains la foi à son propre père qui erre temporairement dans une secte.
Bref, les petits pains s’avèrent pour les jeunes un très bon outil pour propager autour d’eux la foi en Jésus-Christ et de se construire par une gymnastique intellectuelle et spirituelle.
La première page
Le ciel était d’un bleu azuré et l’air était frais pour un matin de septembre, mais le Soleil luisait de tout son éclat et réchauffait le sol qui absorbait sa chaleur. Les feuillus n’avaient pas encore commencé à rougir.
Joseph Leblanc sortit de l’hôpital le 5 septembre alors que les cours ne
commençaient que le 8.
Le matin du 8 septembre arriva et Joseph était prêt pour la Polyvalente grâce à sa mère qui avait vu à ce que son fils ne manque de rien : cahiers d’exercices, crayons, aiguisoir, livres obligatoires, ruban adhésif, pinceaux, pastilles de peinture à l’eau, feuilles de cartable, vêtements de gymnase, etc.
Joseph Leblanc monta donc dans l’autobus scolaire qui arriva pile à l’heure indiquée sur la lettre descriptive de la rentrée. Comme la plupart des bancs de l’autobus étaient occupés à l’avant par les filles, il alla s’asseoir à l’arrière vu que les garçons étaient plus dissipés que les filles, plutôt sages et réservées. Il choisit un banc et s’y assit.
Joseph jeta un dernier coup d’œil à la maison que son père, artiste-peintre, venait tout juste d’acquérir grâce à une bourse inespérée reçue d’un philanthrope. C’était une vieille maison de campagne aux murs de pierres taillées. Sa chambre était située au grenier qui avait été rénové par l’ancien propriétaire qui était très habile de ses mains.
Madame, Mademoiselle, Monsieur,
Je suis né tout près de Berthierville, dans la Province de Québec, au Canada. J’ai fait mes études classiques au Séminaire Saint-Antoine à Trois-Rivières et au Séminaire de Joliette ainsi que mes études collégiales au Cégep de Joliette, au Québec.
Je suis diplômé...