Tout à commencer ce 24 mai 1947, lorsque le jeune poète Kateb Yacine donna une conférence à la salle des Sociétés Savantes de Paris sur l’émir Abdelkader et l’indépendance algérienne. Annoncée par Alger républicain (30/5/1947) l’intervention a été « écouté (…)
2024
Un reportage paru entre le 6 et 12 mai 1951 et co-signé entre Kateb Yacine et Mohammed Dib avec la participation du red-chef d’Alger-républicain. Un texte rare où il est question d’un fléau encore aussi vivace aujourd’hui tant en Algérie qu’en France et à (…)
2024
Abdelhamid BENZINE (1926-2003) est plus qu’un journaliste d’Alger-républicain, ce 1er quotidien francophone anticolonialiste. Il est un militant de la cause indépendiste et de la lutte nationale démocratique pour plus d’émancipations en Algérie. Pour le (…)
2024
Un vieux Monsieur, enfin presque, né en 1941 en pays Cathare, près de Béziers. Languedocien de pure souche par sa mère et son père depuis des générations (1789) Je vis toujours en pays Cathare, dans les Pyrénées audoises. Je ne peux me cacher derrière des (…)
Ce recueil regroupe des textes oubliés, abandonnés sur le bord de ma vie. Rares rescapés d’époques révolues. Ils sont chants d’Amours, plaintes ou cris de douleur, témoins de mes angoisses, de mes peurs ou de mes révoltes ! Ils sont autant de (…)
Ce livre est un univers d’émotions, nonobstant des amoureux, mais de la vie sociale aussi, car l’humain est appeler à mener sa vie dans un environnement où il se sent aimé et est tranquille dans sa demeure !
24 septembre 2020, par Frédéri MARCELIN
Belle poésie politique.
On en redemande.
^ 17 août, par Mohamed-Karim Assouane
Merci à vous de soutenir notre verbe bien libre. Kahli Kamel est partie prématurément bien vite suite à une grave maladie pulmonaire, il a quand même marqué tout ceux et celles qui l’ont aimé et respecter. Cordialement M. Karim
25 septembre 2020, par Mohamed-Karim ASSOUANE
A notre bel ami qui porte le nom d’une de nos belles plume du cher pays ami Haïti, la 1ère République de tous les Saints. K.K.E. est une plume combattante que la maladie emporta prématurément. Personnellement, je tente de recueillir ses articles de presse, ici en Algérie, qui sont d’une virulence inouie envers les réactionnaires islamo-FLNistes et dans la langue de Voltaire, non celle de Molière qui faisait rire les princes et les nababs. K.K.E. connaissait très bien l’histoire littéraire algérienne, pour me rappeler un jour que notre grand poète et militant Jean El-Mouhoub Amrouche, avait rencontré et à plusieurs reprises à Rome et à Paris de nobles écrivains et poètes haïtiens et des Antillais. C’est de cet abreuvoir que nous nous sommes que nous nous vivifions. Meilleures salutations respectueuses.