Un homme, une femme, un belvédère comme point de rencontre. Les apparences sont parfois trompeuses...
2012
Il arriva dans la chambre. Une pièce ordrée, pleine de nombreux souvenirs inutiles. Le genre de souvenir que l’on achète par coup de foudre et que l’on range par respect, pour finir par l’oublier avec dédain. Il se figea au milieu de la chambre et lança à (…)
2006
Ça commença un matin pendant que Manon prenait sa douche. Elle ressentit une douleur à l’épaule droite. Enfin pas tout à fait à l’épaule, un peu en dessous, au niveau de l’omoplate. Une sensation bizarre, sorte de picotement désagréable. Elle frotta plus (…)
2006
Un monde parallèle, le Royaume des Autres, existe juste à côté du nôtre, peuplé de créatures mystérieuses et de magie ancienne. Un humain découvre accidentellement un portail vers ce royaume et se retrouve plongé dans une guerre millénaire entre les forces (…)
Le jour où des savants découvrirent dans de très vieux écrits de Léonard de Vinci l’incroyable formule qui permettait d’ouvrir une porte entre notre monde et celui de l’au-delà, deux milliards d’êtres humains se portèrent volontaires pour être les premiers (…)
Deux années se sont écoulées depuis les événements tragiques de Modeyrot. Revenu à Paris, Alistair Kridge poursuit une vie tranquille d’enseignant au sein de l’illustre université de la Sorbonne.
5 octobre 2006, par Matteo FUSI
J’ai eu peur que l’histoire écrite soit une copie du "8ème jour". Ou encore un conte de fée parlant d’un trisomique. Mais il n’en est rien. J’ai trouvé l’histoire bien écrite même si l’intrigue principal tarde à être définitivement déduisible. Votre façon d’écrire m’a plu. Ciao Matteo
^ 19 novembre 2006, par nounours_y
Merci, c’est toujours un plaisir de recevoir des félicitations. Mais ce qui me fait le plus plaisir, c’est d’avoir réussi à vous tromper quand au sujet véritable de l’histoire.
En ce qui concerne l’intrigue principale, qui arrive assez tard, c’est caractéristique de mon travail. Je ne pense aux histoires que j’écris qu’en voyant le début et la fin possible. Le reste ne me vient que lors de l’écriture. Sachez donc que Jim devait se faire tuer par sa famille et qu’il le savait lors de ma première idée, puis j’ai préféré m’orienter autrement.
Pour info, je n’ai jamais vu le huitième jour, bien que j’en ai entendu parler.