Accueil > Littérature > Le journal presque intime : Vers l’infini…
C’est la troisième partie de mon journal presque intime ( vivre avec un cancer ; comment survivre à l’insuffisance hépatique aiguë)
S’identifier à ses pensées est l’une des pierres qui battit les murs de notre prison égotique. L’identification à notre corps en est une autre. Pour se frayer un chemin vers la liberté il faut raccourcir la locution de Descartes jusqu’à « j’existe » ou dire tout simplement « Je suis » !
C’est le début du chemin de conscience de sa personnalité selon les traditions védiques et bouddhistes. On s’appuie sur quelque chose de tangible au début de son évolution spirituelle vers l’infini.
C’est très simple à vérifier. Il faut commencer par la respiration ; expiration, « Je suis », inspiration, « Je vis » ! On ressent tout son corps de l’intérieur comme le déclare Ecart Tollé dans le « Pouvoir du moment Présent ». Et si on médite assez longtemps sur le « Je suis », on ressent alors une force vitale qui envahit tout notre être. C’est une force primaire et universelle. Elle est propre à toutes les créatures de cette TERRE. Cette force est douce et aimante et pourtant, pour aller à l’infini, il faut l’abandonner, la laisser de côté.
C’est la suite je mon journal que j’ai commencé il y a 4 ans. L’idée de cette partie est née depuis un petit moment (depuis 2018). J’ai pris le temps d’étudier le problème. J’ai décidé de ne pas préciser le nom de la ville, car les événements qui suivent pourraient se (...)
2022
Ayant un accès à l’information plus large que celui notre TV nous propose (je maitrise le russe et l’ukrainien), je me suis aperçu que celle que nous avons est très souvent engagée et parfois mensongère. Je trouve inadmissible que les Français n’aient qu’une (...)
2022
Ce livre qui est, en premier lieu, une étude ethnographique des manifestations populaires russes, révèle qu’elles font partie de la culture indo-européenne. Après avoir noté de multiples parallèles entre les traditions populaires russes, celles des peuples (...)
2021
Ce virus est un bon teste sur l’humanité et ses croyances... Un crash-test !! »
2020
Août 2000. Une zone pavillonnaire stéphanoise. La journée promet d’être magnifique. La météo est au beau fixe, il va faire chaud.
Une lettre poétique, illustrée d’images et de sons
"Si tu m’aimes comme je t’aime..." "Si tu m’aimes comme je t’aime, alors c’est sûr, nous deux, c’est pour la vie ! " Septembre 1969 : Julien, Michel, deux adolescents d’une douzaine d’années, font leur entrée en sixième. Dès le premier jour, une relation forte (...)
Fables de la vie, de certains moments, de fragments de vie, scènes et scénettes. Parcelles de vie, d’angoisse, de songe, de rire...à parler, à lire, à dire, à lire et à dire à haute et claire voix, seul ou à plusieurs, pour écouter les sons des mots qui disent un (...)
7 décembre 2019, par Leboeuf Pierre
J’ai beaucoup apprécié ce témoignage relatif à la maladie et la façon dont l’auteure a agi pour se guérir.
Il se dégage de cet ouvrage un exemple d’une belle spiritualité vécue au quotidien qui réchauffe le cœur.
Merci pour ce beau témoignage !
^ 18 mars 2022, par L. FAYER
Merci à vous pour ce beau commentaire...