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J’ai écris cette histoire il y a trente ans, elle est toujours en cours, les aléas de la vie ont fait que je n’ai pas consacré beaucoup de temps. Mais un de mes amis, qui a publié chez vous m’a redonné l’envie et le plaisir d’écrire.
A vous de me dire si vous voulez connaitre la suite.
Ne vous fiez pas au début de l’histoire. elle a commencé il y a longtemps. C’est un test pour voir si quelqu’un ou plusieurs personnes sont intéressés. Pas de concessions, ni de mièvrerie.
Il était une fois, dans une ruelle sombre, où le ciel est toujours gris, et l’humeur de ce passage maussade, un promeneur perdu.
Il s’appelle petit Eric, non pas parce qu’il est petit, mais parce que ses amis le surnomment ainsi.
Petit Eric, à son habitude, ruminait des pensées en accord avec ce passage. Il remarqua toutefois une petite boutique éclairée et apparemment ouverte.
C’était une vieille échoppe, qui n’avait qu’une vitrine en devanture, cette vitrine n’avait pas été nettoyé depuis longtemps.
Un vieil homme entrait et sortait, rangeant des meubles et chaises anciennes qu’il avait disposé sur le trottoir.
Il n’était ni français, ni chinois, ni arabe, on ne pouvait deviner sa nationalité, mais il paraissait tellement vieux et fripé, que Mathusalem lui-même n’aurait su dire son âge.
Petit Eric aurait continué son chemin, sans faire plus attention, si le boutiquier par inadvertance n’avait fait tomber un objet qui au son de sa chute, devait être métallique.
N’écoutant que son honnêteté, Petit Eric ramassa l’objet. C’était soit un gros pouce soit un petit phallus. Il était vert de gris et paraissait très ancien.
Voulant le rendre à son propriétaire, il releva la tête et s’étonna de trouver la boutique fermée, comme si elle n’avait jamais existé, comme si elle n’avait jamais été ouverte.
La vitrine était plus sale et pleine de toiles d’araignées.
S’interrogeant sur cette bizarrerie, il regarda attentivement la vitrine, toqua à la porte, mais personne ne répondit.
Il sortit alors de la ruelle sur la grande rue, une belle jeune fille passant par-là lui dit bonjour, et lui lança un sourire qui éclaira ses humeurs.
Décidant que l’objet lui portait chance il le mit dans sa poche.
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