Ar Priñz Bihan
Nombre de pages en A4 : 496
Livre publié le 5 janvier 2025
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Thème :
Saga
Littérature Erotique
La quatrième de couverture
La Nouvelle Terre est en plein essor. Les colons arrivent petit à petit et bâtissent un village autour de la Pierre, une île entourée par une mangrove aux arbres gigantesques et inquiétants. Youenn Louarn, le « renard », l’ancien officier supérieur de l’Autorité au passé trouble, administre la colonie, jusqu’à ce que la nouvelle Autorité décide de nommer Hélène Pozner administratrice de la Nouvelle Terre, une femme plus présentable aux yeux du gouvernement d’Arvorig.
Le « Petit Prince », arrivé trois ans après le début de la colonisation, sème le trouble dans le cœur des hommes de la Nouvelle Terre, sa beauté est surnaturelle, tous le veulent, mais il s’est donné à Youenn Louarn, maintenant adjoint d’Hélène Pozner.
Niamh O’Brien réalise son rêve, parcourir le chemin pavé, en faire le tour, découvrir ses mystères. Fred, Mingan et son apprenti, Eamon, Marcel Gwivarc’h, le grand reporter, Elfenn Fin, l’apprenti contrebandier, Fañch Abgrall, l’électricien, Malou Le Hir, un policier dissident de l’Autorité, Hải Âu Nguyễn, une étudiante vietnamienne, l’accompagnent dans son Odyssée.
Le Reer de l’école de Malvid a été nommé gouverneur du château des Francs. Il est responsable du passage des colons vers la Nouvelle Terre. Tomazhina, sa favorite, s’ennuie, la vie de château n’est pas pour elle.
AVERTISSEMENT : des scènes ou des propos peuvent heurter la sensibilité des lecteurs
La première page
À l’arrêt sur les eaux calmes et fangeuses du lac, le canot dansait dangereusement. Le barreur à la poupe – je ne pouvais pas le voir – râla, je compris qu’il était contrarié. Le moteur du hors-bord avait calé, le canot tanguait, roulait, le moteur toussa plusieurs fois, repartit, cala. Finalement, après une plainte lugubre, le moteur redémarra.
J’étais à la proue du canot, à quatre pattes, accoudé au plat-bord, la pluie balayait mon visage, le plancher mal équarri du canot me râpait les genoux, mes bras étaient endoloris par les échardes du bordage, le tangage m’avait rendu nauséeux. Mais chaque coup de reins du « renard » m’arrachait un cri de plaisir, ma tête se redressait involontairement, cherchant de l’air. Le lent va-et-vient dans mes intestins de la longue queue de velours de mon tourmenteur me donnait des spasmes de jouissance, je m’offrais à chaque nouvelle intrusion, ses lourdes couilles gorgées de semence battaient mon scrotum avec régularité.
Une odeur désagréable d’œufs pourris remontait des eaux du lac. De grands oiseaux noirs tournaient lentement au-dessus du canot en croassant, intrigués par la venue du canot sur leur territoire de chasse, de véritables oiseaux, et non pas les espions de l’écosystème au vol maladroit.
Le va-et-vient se fit plus pressant, me bousculait, le halètement derrière mon dos se brusquait, je perdais pied. Je cachais mon visage entre mes bras, je gémissais en éjaculant spasmodiquement, mon anus se contractait convulsivement autour de la belle queue du « renard », il allait se vider les couilles. Ses mains agrippaient solidement mes fesses, son ventre claquait, ses grognements sourds de bête annonçaient la libération, j’étais secoué en tous sens, l’orgasme me fit crier, il me faisait jouir, sa queue était magique, je m’affaissai, amolli, sur le plat-bord du canot, le cul toujours retenu par les mains puissantes du « renard ». Sa chaude semence envahissait mon intestin, le trop-plein débordait, dégoulinait le long de mes cuisses. J’étais dans le brouillard, des répliques orgasmiques me secouaient toujours, mes sphincters se resserraient en saccades autours de la longue queue bondissante, je tremblais. J’entendis sa voix mâle enrouée, essoufflée :
— Putain ! C’est trop bon… je ne sais pas comment il fait pour me faire jouir comme ça… il a un secret.
Saga
J’ai une imagination quelquefois un peu débordante et j’aime bien raconter des histoires. J’ai beaucoup lu Jules Verne étant jeune, mais, ça manquait de sexe, depuis, je me venge… bonne lecture…